[MicroPICell] Bienvenue Aurélie !
Aurélie Doméné, ingénieure chargées d'études en biologie. Plate-forme d'imagerie cellulaire nantaise MicroPICell.
Aurélie Doméné, ingénieure chargées d'études en biologie. Plate-forme d'imagerie cellulaire nantaise MicroPICell.
Congrès Gen2Bio 17 novembre 2020 en WEBINAIRE. Programme et inscription.
La plate-forme BIBS à Nantes confirme le recrutement d'Angélina d'Orlando comme Ingénieure d'Etude.
Le Centre de Production de Vecteurs (CPV) du laboratoire labellisé Intégrateur industriel par le grand défi national "Biomédicaments".
Que ce soient des données de génomique, d’imagerie in vitro ou in vivo, de modèles animaux ou végétaux, les données en sciences de la vie sont aujourd’hui pour la plupart traitées “en silos”. Le projet fédérateur MoDaL (Multi-Scale Data Links), porté par le réseau Biogenouest, vise à décloisonner les ressources et à promouvoir les moments d’échange et de travail collaboratif autour de l'intégration des données biologiques multi-échelle. Le but de ces rencontres est de découvrir la diversité des profils de la recherche en biologie et en santé dans le grand ouest. J’ai rencontré Perrine Paul-Gilloteaux pour les rencontres Modal le 10 juillet 2020 dans les locaux de l’équipe UMR_S 1087/UMR_C 6291 de l'Unité de Recherche de l'Institut du Thorax, à Nantes.
L’une des problématiques actuelles majeures de la biologie consiste à homogénéiser les formats et structures de données afin de pouvoir les analyser ensemble, et non « en silo ».
LentiVec permet la construction à façon de vecteurs lentiviraux spécifiques au gène d’intérêt que le chercheur souhaite exprimer. Plus généralement, elle fournit aux différentes équipes de recherche régionales et de la zone grand-ouest un savoir-faire et une expérience en transfert de gènes.
Suite à un audit le 8 et 9 janvier dernier, la plate-forme Therassay a obtenu son renouvellement de certification pour 3 ans selon la norme ISO 9001:2015.
Nouveau noeud Bretagne-Loire de l'infrastructure France Bio-Imaging : microscopie pour le pré-clinique.
Pour la première fois, ces travaux révèlent - chez l’animal - une augmentation de la consommation de glucose au niveau notamment du cerveau et du tissu adipeux, preuve d’effets indésirables vis-à-vis du métabolisme et de la sensibilité à l’insuline. Ces travaux ont été publiés le 24 juillet 2019 dans l’European Journal of Nuclear Medicine and Molecular Imaging.